avril 2020
Un rien suffit
...Je viens de quitter vos "pages", quelques [larmes...], et surtout beaucoup de plaisir à vous lire, tout est tellement juste, les Bons Vaudois diraient "c'est tellement ça"...
juillet 2020
Le Poète/The Poet
Un merveilleux conte de fées autour du célèbre et bien-aimé poète de Dublin (ndlr: Pat Ingoldsby) - Saint Exupéry et Brautigan en une seule petite bouteille - avec des illustrations non moins merveilleuses. Un chef-d'œuvre de lecture et d'admiration humaine.
(traduit du russe)
juillet 2020
Un rien suffit
...votre écriture m'émeut souvent jusqu'aux larmes... il y a énormément de subtilité et de finesse dans les émotions… ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir ce talent de mettre en évidence le quotidien de la vie... vous avez ce don d’observation des toutes petites choses qui font le tissu de la vie, et de savoir en parler…
juin 2020
Un rien suffit
Je reconnais bien là votre écriture, précise, détaillée. Je crois voir des suites de miniatures très bien ciselées. [...] Mais paradoxalement, je suis moins sensible qu'à votre dernier livre. J’ai essayé de comprendre pourquoi. Le vieillissement, la séparation, sont dites avec une extrême justesse, mais elles me pèsent en tant que lecteur. [...] J’étais poussé à être légèrement déprimé, voire abattu. [...] Et je n’aime pas être contaminé par le malheur d’un personnage, qu’il soit Phèdre, Hamlet ou Estragon.
juin 2020
Un rien suffit
Merci pour cette nouvelle et magnifique création. Quel plaisir de lire!
mai 2018
Des mots pour vous dire combien j'ai aimé "Ce dont nous n'avons pas parlé", votre dernier récit. Vous effleurez du bout des doigts ce grand départ, le viole subtil, insaisissable et si vif qu'il laisse à l'intérieur de soi. Vous parlez d'une absence présente, animée par vos ressentis, que vous nous livrez au partage, avec tant de délicatesse.
janvier 2018
Ce dont nous n'avons pas parlé
Je ne lis pas un livre pour m’apitoyer sur l’auteur, quelles que soient les difficultés vécues. Je le lis parce qu’il trouve un écho en moi, il met à jour des évidences que j’ai oubliées, il tente de saisir de la vie. Parfois au moment même où elle s’en va. L’objet vivant qui devient subitement mort, c’est terrible cela. Les objets, les lieux, les gens même qui subitement changent de statut. Et je le lis également parce qu’il y a un style, une dynamique. Votre livre n’est pas sur votre tristesse. Il est sur tout ce que cette mort met en branle pour vous. La mort d’un proche est un véritable "shaker" des sentiments, des faits, des souvenirs. Et vous êtes, vous, étonnée de tout ce qui se passe. C’est cette révélation qui est magnifique. Magnifique car certainement intense et douloureuse. Mais ce n’est pas cela que vous donnez à lire.
décembre 2017
Ce dont nous n'avons pas parlé
Je lis avec plaisir et douleur votre dernier livre. Cette phrase: « … pour la première fois, et depuis si longtemps, un peu plus de place autour de la table. » L’étonnant est que je suis très touché par votre texte, alors que je ne connais pas la personne dont vous évoquez l’absence, dont vous évoquez la présence par son absence. D’une douleur personnelle, de faits et d’objets très précis et privés, du moins familiaux, donc intimes, vous permettez au lecteur de se rappeler ces mêmes instants, leurs mêmes étonnements de douleur, ces mêmes objets qui perdent leur valeur ou leur sens avec la disparition de leur propriétaire. Et ce n’est pas de la nostalgie, c’est donner de l’importance à quelque chose au moment même où cette existence disparaît.
novembre 2017
Ce dont nous n'avons pas parlé
Je viens de terminer la lecture de votre dernier livre et je l'ai trouvé très beau rempli de pudeur et de délicatesse.
Certains passages ont réveillé des moments douloureux de ma propre histoire mais à la fois cela fait du bien de lire des mots que l'on n'est pas soi même forcément capable de formuler, la résilience....
novembre 2017
Ce dont nous n'avons pas parlé
Quelle émotion de lire ces mots... Tous ces sentiments, émotions, souvenirs m’ont chamboulée, m’ont fait frissonner, pleurer et sourire...
novembre 2017
Je comprends profondément vos émotions et continue à admirer votre manière de les exprimer avec pudeur, délicatesse et tendresse. Vous ne pouvez imaginer comme cela me touche.
octobre 2017
Ce dont nous n'avons pas parlé
Une chronique de "Ce dont..." d'Amandine Glévarec sur son blog kroniques.com.
octobre 2017
Ce dont nous n'avons pas parlé
Poignant. Émouvant. Riche. Âpre.
octobre 2017
Vous ne pouvez pas imaginer comme tous vos livres m'ont touchée et m'ont procuré des sentiments que peu de livres arrivent à procurer. Quand je vous lis, je suis dedans, je sens les sensations, les odeurs et l’atmosphère. C'est vraiment fabuleux. Vous avez un don d’écrire de manière à nous faire plonger dans ces mêmes sentiments et de faire ressentir au fond de nous des choses vécues, de faire remonter des souvenirs et nous bouleverser.
mai 2017
Te souviens-tu de moi?
...admirable petit livre... Quelle pudeur dans cette expression de choses tendres ou douloureuses! Et quelle maîtrise du mot en ces choses qui remuent en nous! Vraiment bravo. Votre oeuvre est une réelle rencontre poétique. Je dis cela sans exaltation. Vos nouvelles sont d'une sensibilité rare où mon coeur de poète blessé se reconnaît.
février 2017
Glisse ta main dans la mienne
Vivienne, les histoires que vous écrivez me font vivre une collection d'émotions, toujours. Vous savez vous rapprocher des gens, les regarder, et c'est sûrement ce qui me touche. Le regard dans l'invisible pour les vivants.
janvier 2017
Te souviens-tu de moi?
Vous savez, Te souviens-tu de moi? m'émeut très souvent. Je le relis par bribes. Cela me parle en creux des filiations. Celles d'avant et celles d'après. Et puis les filiations qu'on se fabrique, avec les rencontres. Et les affinités et les parentés fictives! Et cette part d'enfance, toujours, demeure dans des gestes, des sensations, des petits plaisirs.
septembre 2016
Glisse ta main dans la mienne
Je suis toujours surprise de voir à quel point les élèves sont sensibles et comprennent la délicatesse de ce qu’ils lisent. Ils sont très réceptifs et cet intérêt a été confirmé par une autre collègue qui a aussi fait lire quelques nouvelles à ses étudiants. Vous êtes une auteure qui plaît au jeune public et vous savez comme il est difficile, exigeant! Ils ont tôt fait de clouer un livre au pilori!
(courrier d'une professeure de français dans un gymnase tessinois)
septembre 2016
Glisse ta main dans la mienne
… je ne sais pas si c'est le rythme, vos phrases courtes, vos mots percutants, directs, francs, je pense que c'est un tout. certaines, c'est comme un coup en plein coeur. ça réveille. ça booste. ça remue. ça secoue. ça ébranle. tellement. les larmes montent. toutes seules. incontrôlables. […] J'ai l'impression de me retrouver dans tellement de vos mots, si j'avais eu votre talent, j'aurais aimé que cela soit un peu des miens. Mon mail est certainement décousu, pas très bien construit. Je vous écris à chaud. Je viens de finir votre livre et de relire "glisse ta main dans la mienne". Vous m'avez eue. Comme avec les goélands. Pas toutes vos nouvelles, c'est vrai, je vous l'avoue. mais quelques unes, et pas des moindres.
…je vous remercie pour ces secousses, ces émotions qui valsent à l'intérieur de moi, totalement hors contrôle, elles font comme chez elles, chamboulent tout, s'installent. Il n'y a rien à faire d'autre. Juste les accueillir. Et en même temps, je crois que je vous en veux un peu, oh, minuscule, mais un poil quand même, de faire si mouche chez moi, de me faire sauter aux yeux des mots que je sens, que je sais, mais que je ne dis pas. que certainement, je ne veux pas dire.
janvier 2016
Glisse ta main dans la mienne
Deux classes de gymnasiens tessinois lisent Glisse ta main dans la mienne. Voici un bout du message que leur professeure de français m'a écrit:
"…j'interroge les élèves sur le style. Ils ne comprennent pas vraiment alors je leur demande en quoi la manière d'écrire est différente de ce qu'ils ont l'habitude de lire. Et je suis très étonnée de leurs réponses, ils me disent que c'est une écriture libre, très rythmée, vivante, un élève me dit même qu'il a l'impression que quelqu'un lui parle... Je suis vraiment heureuse qu'ils ressentent le texte de manière aussi vive et juste.
Je leur demande ensuite s'ils ont le souvenir d'une grosse bêtise. Les visages s'illuminent.
Il y a des bouches ouvertes, des yeux qui se lèvent au plafond, des index sur les lèvres. Puis des rires s'envolent, une forêt de mains se lèvent, tout le monde veut raconter son histoire et l'envie est si forte de parler qu'ils ne peuvent attendre leur tour et parlent alors à leurs voisins. Le cours finit dans un gentil chaos de souvenirs.
Voilà, chère Vivienne, ce que vos mots ont provoqué chez des jeunes gens dont l'univers, la langue, les intérêts sont si éloignés des vôtres. Le lien que vous arrivez à créer c'est la vie, la beauté, l'émotion. Ce qui me frappe le plus, c'est que vos lecteurs ne ferment pas votre livre en silence, non, ils ont envie de parler, d'échanger."
décembre 2015
Te souviens-tu de moi?
J'ai lu, très vite, votre dernier recueil de nouvelles. Toujours séduite par votre style léger, souple, sensible, troublant. Les souvenirs chauds, les découvertes, les blessures, les meurtrissures de l'enfance qui constituent notre socle d'adulte, je les ai pleinement ressentis. Merci pour ce beau cadeau.
novembre 2015
Le Poète
À mon tour de vous remercier pour ce très beau cadeau que consiste "Le poète".
Je l'ai lu avec beaucoup d'émotion et... quelques larmes.
septembre 2015
Heureusement qu'il reste les goélands
Je dévore et en même temps je ne veux pas que ça s'arrête... "Heureusement qu'il reste les goélands" est ce qu'il fallait à mon coeur. C'est tellement de lumière chaque fois pour chaque moment et même quand c'est une faille. La vie comme un éclat. Chaque histoire, une vraie pépite, quelque chose de rare, profondéemnet intime et qu'on saisit comme un reflet dans l'eau. Alors MERCI de votre générosité, de ce beau regard.
juin 2015
Heureusement qu'il reste les goélands
J'ai reçu un long et émouvant courrier d'une jeune femme qui me parlait du tout premier livre de Rouge écarlate, "Heureusement qu'il reste les goélands". Courrier qu'elle termine ainsi:
"Je ne m’attendais à rien et j’ai été surprise, ébranlée, ravagée, c’est à la fois un tourbillon, une valse, une tempête d’émotions, de souvenirs, de sensations, au-delà de toute attente. Quelque part, j’ai presque honte, votre livre date de 2009 et je n’en ai jamais entendu parler, je le découvre par hasard. Ma mère aurait pu me le passer bien avant, comme elle me passerait le dernier Françoise Bourdon ou Harlan Coben…En même temps je sais, je sais que le hasard fait bien les choses, que si votre livre est entre mes mains aujourd’hui seulement, c’est parce que c’est aujourd’hui qu’il doit y être.
Jamais, jamais je n’ai été happée de la sorte par des mots, un rythme, une façon d’écrire. Jamais. Ce que vous racontez, vos souvenirs, vos expériences, vos phrases, vos mots bouleversent mon corps, mon cœur et mon âme. C’est un bouleversement intense et délicieux qui réveille ce qui sommeille, ce qui est mis en veilleuse par la course de la vie quotidienne. Et je vous en remercie."
le 18 avril 2015
Te souviens-tu de moi?
Dans Kroniques (anciennement litterature-romande.net), un touchant compte rendu de Te Souviens-Tu de Moi? ainsi qu'un très bel entretien avec Amandine Glévarec
mars 2015
Te souviens-tu de moi?
Étonnante lecture! Il y a des livres qui m’accaparent, car je suis envoûté par l’histoire, les personnages. Et je me réjouis de parcourir la suite. […] Il y a des livres qui à peine commencé, me font partir dans la rêverie, dans mon imaginaire, dans mes souvenirs.
mars 2015
Te souviens-tu de moi?
Avec te souviens-tu de moi? chaque histoire avait un pouvoir de réveiller, qui un souvenir douloureux, qui une rencontre adolescente qui aurait pu aller plus loin. Chaque fois que je me replongeai dans une de vos courtes histoires, quelque part, une douleur ou une peine remontait à la surface. Cela tient inévitablement de votre qualité d’écriture, tellement précise, tellement juste, qui fait que le souvenir évoqué, et peut-être totalement imaginé […] me précipite dans un de mes souvenirs, ou réveille un moment oublié de ma vie. C’est à la fois magnifique et douloureux. Ce qui fait que j’ai pris mon temps pour vous lire. […] J’ai même repris contact avec des gens que je n’avais pas vu depuis 40 ans!
mars 2015
Te souviens-tu de moi?
Dans vos sujets et dans votre écriture, vous avez su saisir ce qui finalement est fondamental dans la constitution de souvenirs, mais surtout dans la constitution d’un être humain. Nous sommes faits de tellement de petites choses, qui peuvent de prime abord paraître insignifiantes, mais qui avec les années nous constituent.
le 17 mars 2015
Une plongée dans l'enfance... "Te souviens-tu de moi?" et Vivienne Baillie invités à l'émission "Entre nous soit dit" avec Mélanie Croubalian de RTS la Première
janvier 2015
Te souviens-tu de moi?
Votre dernier livre est un cadeau. Comment vous en parler ? Chaque nouvelle: une mise à nu. « Écartée »… Vous trouvez les mots que j’aurais aimé trouver pour parler du sentiment d’exclusion. Votre écriture et votre sensibilité sont des cadeaux. En vous lisant, on se dit : « J’ai envie de connaître cette personne. » Merci. Merci pour vos mots.
décembre 2014
Te souviens-tu de moi?
J'adore vos nouvelles nouvelles ! elles sentent vraiment l'enfance ! une fois de plus un tout grand bravo à vous !
octobre 2014
FouFounetTe
"Délicieusement sensuel. Cette manière d'érotiser sans en avoir l'air... Et Vivienne créa la... non pas la femme, ni le sexe, mais une adéquation érotique et évidente entre ces poils sans destin, et ce sexe avide de son habillement adulte, léger, coquin, soyeux. Et unique à la fois. A relire dans l'ordre et le désordre! Les illustrations sont belles… l'objet dans son ensemble est très beau, très belle facture. Bravo."
octobre 2014
FouFounetTe
"Félicitations pour ce beau zine. Vous parlez avec beaucoup de charme de cet endroit à la fois si obsessionnel et mystérieux pour l'homme. Vous parvenez à en parler sans dévoiler son énigme..."
novembre 2013
Le Poète, The Poet
" Il est des rencontres si douces, tellement délicieuses... J’ai lu votre livre. J’ai bu vos mots comme un café brûlant qui réchauffe le corps et éveille l’esprit. …Vos mots m’ont envoûté, captivé... De tout mon coeur, je vous remercie. "
septembre 2013
Le Poète, The Poet
“ Quelle délicieuse lecture, quelle finesse de description. Tout a une âme dans vos mots, tout vit, tout vibre. Le poète en moi vous dit: merci. ”
août 2014
Le Poète, The Poet
Ce beau message d'un jeune père irlandais. Une traduction se trouve plus bas.
“… I live just outside Dublin. I was recently walking to work when I met the Dublin Poet. I had a few minutes to spare so I stopped to speak to him, and asked if he had a book suitable for my 12 year old daughter. He said "I have just the book here." It was The Poet... I read your delightful book on my way home from work that same evening and although I’m not a big reader of books, I found this to be a wonderfully honest, light hearted and heart-warming story. I left it by my daughter’s bedside that night when I returned from work. Next evening I got home from work early only to be met by my daughter Katelyn telling me how she loved your book. "And do you know what else is great Daddy?" she said. "When I start secondary school in September I will start to learn French and I can show my teacher how this book could help me."
So, I just wanted to pass on mine & of course Katelyn’s heartfelt thanks for introducing us to you and your beautiful book.”
..et en français..
“J’habite juste en dehors de Dublin. Il y a quelques jours, je me rendais au travail lorsque j’ai rencontré le Poète de Dublin. Je me suis arrêté pour lui parler quelques minutes, et lui ai demandé s’il avait un livre qui irait pour ma fille de 12 ans. Il a répondu que oui, il avait exactement le livre qu’il fallait. C’était Le Poète. J’ai lu votre ravissant livre en rentrant du travail le soir-même et, bien que je ne sois pas grand lecteur, j’ai trouvé l’histoire merveilleusement honnête, légère et réconfortante. J’ai laissé le livre sur la table de chevet de ma fille cette nuit-là. Le lendemain, je suis rentré tôt du travail. À peine la porte franchie, ma fille Katelyn me dit qu’elle a adoré votre livre. « Et tu sais quoi Papa ? Quand l’école reprend en septembre, je commence le français et je pourrais montrer, à ma maîtresse, comment ce livre pourrait m’aider. »
Je voulais simplement – avec Katelyn bien sûr – vous remercier chaleureusement de nous avoir fait découvrir à la fois vous et votre beau livre. »
.
mai 2013
Le Poète, The Poet
So, it being a rainy spring day i decided to close the laptop, run a bath and in i got with The Poet.
What joy, Vivienne, what love what absolute pure pleasure to read your story - it is absolutely gorgeous and it lifted my mood no end, and for that i thank you so, so much. I have sent it over to my girlfriend who is in Dublin at the moment to keep her company until we are reunited, i know she will appreciate it as much as i did. So, know that your book has given a huge lift to a fellow poet out there and i have no doubt it has done the same for many, many people. Congratulations on creating it and thank you for letting it out into the world.
février 2013
Le Poète, The Poet
Le poète n'est ni jeune et romantique, ni ivrogne et misérable, ni célèbre et adulé. Ni éthéré, ni désabusé, ni gâté par le succès. Juste vivant et heureux de l'être, tirant chaque jour sa charrette de livres qu'il étale sur le trottoir de Dublin, à portée de main et de lecture pour les passants. La fillette (Vivienne Baillie?) qui l'aborde un jour d'automne n'oubliera jamais qu'elle a rencontré Pat Ingoldsby, et qu'il lui a appris à écrire... Cette fable délicate à l'humour tendre, ode aux mots et à leur pouvoir, a le double charme d'être bilingue, imprimée tête-bêche en anglais, et de faire connaître le talent d'une très jeune et prometteuse illustratrice vaudoise, Charlotte de Perrot, qui signe une jolie "première" avec ce charmant opuscule!
(Marie Claire Suisse, février 2013)
janvier 2013
Le Poète, The Poet
Que votre talent de magicienne des mots et délicatesse du choix des illustrateurs ne cesse de s'épanouir! La dernière édition du "Poète" : un régal ! Bravo à Charlotte de Perrot et longue vie au Poète! Sait-il, le Vrai, à quel point il est source de créations?!
décembre 2012
Le Poète, The Poet
J'ai lu deux fois votre conte. A chaque fois entre les larmes. C'est magnifique. Il serait prétentieux de dire que ma vie ressemble à celle de votre personnage, car on ne sait jamais l'empreinte qu'on laisse sur les autres. Votre conte est d'une douceur, telle qu'il me bouleverse. Merci. Merci infiniment.
le 17 novembre 2012
Le Poète, The Poet
Un message très touchant m'est parvenu par mail
Dublin 2008, un homme parle à un second d'un livre. C'est une histoire de poète, elle est en français et très émouvante. Le premier explique qu'il a trouvé ce texte auprès du-dit poète en flânant dans une rue de la ville.
Dublin, 2012, me voici à nouveau en Irlande et je fais visiter la ville à un ami. Tout à coup, entre le passage incessant des citadins, je vois un homme. Il est assis sur le trottoir, porte un chapeau et un grand manteau et autour de lui sont posés des livres. Je m'arrête et reconnais le petit ouvrage lu quatre ans auparavant. Souhaitant le lui acheter en anglais, j'entame la discussion et lui explique comment j'ai connu le livre. Alors l'homme me dit : "je t'offre ce livre si tu me promets de contacter son auteur car elle a une version bien mieux maintenant, plus jolie et contenant la version anglaise et française dans une seule édition." Ses yeux pétillent en parlant de Vivienne et il finit par sourire quand je lui promets d'envoyer un message.
C'était il y a quelques jours, maintenant je suis devant mon ordinateur à vous faire part de ce petit moment comme promis et aussi pour vous demander par quels moyens il est possible d'obtenir cette nouvelle édition en France.
Merci à vous d'avoir permis cette rencontre.
Le Poète, The Poet
Extraits traduits d'une critique de la première édition du livre, parue en 2007 dans le "Galway Independent" en Irlande:
Ce très beau texte est une parabole moderne de la valeur, de la beauté et de la consolation des mots. Le livre est inspiré par le travail de Pat Ingoldsby. En racontant l'immersion d'une jeune fille dans l'univers des mots et de leur magie par un troubadour dans un environnement urbain moderne, Vivienne Baillie souligne l'importance du poète dans une société où la poésie n'est pas une priorité. [...] La vraie beauté de ce livre est qu'à chaque fois que vous le lisez, l'expérience est plus riche encore. Le monde a besoin de plus de paraboles comme celle-ci. Et son message est sans doute résumé dans la dédicace: "Pour Pat, au petit garçon en toi, qui a su prendre la main de la petite fille en moi."
This beautifully written booklet is a modern parable on the value, beauty and solace of words. The book is inspired by the work of Pat Ingoldsby. By telling a simple tale of a young girl's introduction to the world of words and their magic by a Wandering Minstrel in a modern urban environment, Baillie underlines the importance of the poet in a society where poetry is not seen as a priority. The book is imbued with a singular innocence that is absolutely charming and should be read by everyone at least once while on a bus or train. Everybody else will wonder what you are smiling about and want to share in the experience. The real beauty of this book is that every time you read it the experience is richer. It encourages you to pick up your pen and to write your feelings fite fuaite on the page, so that the world may share in your life experience and be all the richer for it. The world needs more parables like this. Perhaps its ethos is best summed up in its dedication: ‘To Pat, with all my love, for the little boy in you who took the hand of the little girl in me.
(Des Kenny, Galway Independent, September 2007)
juillet 2012
Zooïne, sur les sentiers de la vie
Ce récit passionnant, qui intègre des notions inattendues comme le suspense ou l'humour, nous emmène jusqu'à la naissance.
(Joëlle Challandes, Coopération)
mai 2012
Zooïne, sur les sentiers de la vie
L'auteure prend le parti d'un voyage vécu de l'intérieur, en mêlant faits scientifiques et conte. Avec des mots simples, sans aborder plus avant la question de la sexualité, elle narre la rencontre de l'ovule et des spermatozoïdes, la division cellulaire et le développement du foetus jusqu'à la naissance. Un parcours initiatique destiné aux plus jeunes [...]. De grandes illustrations occupent une part importante des pages et sont pour beaucoup dans la douceur du récit.
(Vincent Gerber, Le Courrier, mai 2012)
avril 2012
Zooïne, sur les sentiers de la vie
J'ai dévoré "Zooïne"! Félicitations! Harmonie entre rigueur, esthétique et humour parfaitement réussie."
avril 2012
Zooïne, sur les sentiers de la vie
...l'ouvrage [...] a su m'enchanter par son message scientifique empreint de poésie...
(Dépt. de la formation de la jeunesse et de la culture)
avril 2012
Zooïne, sur les sentiers de la vie
C'est avec délectation que j'ai lu votre livre, un trésor! Ayant travaillé à la maternité de Genève, je me retrouve dans mon élément! Mes félicitations encore, et au plaisir de vous lire, encore et encore...!
mars 2012
Zooïne sur les sentiers de la vie
Quelle aventure!!! J'ai ressenti de manière un peu 'tripale' le crescendo de cette course vers la vie, qui s'apaise merveilleusement vers la fin. J'ai relu le conte plusieurs fois, et cette impression d'être emportée par le rythme palpitant des événements est revenue à chaque fois. J'ai beaucoup aimé l'aspect 'découverte'; j'ai beaucoup aimé les dialogues, pleins de vie et jamais alourdis par l'aspect didactique; j'ai beaucoup aimé la poésie (toujours présente dans vos écrits).
février 2012
Glisse ta main dans la mienne
Une écriture émouvante et originale. Une découverte.
novembre 2011
Glisse ta main dans la mienne
Un immense merci! J'ai littéralement dévoré le premier livre! Vos mots sont des métaphores incroyables et si poétiques! Tant de fois je me suis retrouvée moi-même dans une situation! Vous avez une façon de décrire les gens, les endroits, et vos sentiments biens à vous, qui me plaît beaucoup! Vos nouvelles pourraient presque être des chansons... Tout au long de la lecture je me disais, gardes-en un peu, déguste chaque mot! et j'étais tellement prise par toutes ces histoires...
novembre 2011
Glisse ta main dans la mienne
J'ai adoré, ça m'a fait un bien fou de me retrouver dans les nouvelles de Vivienne Baillie. Des tranches de notre vie qu'elle décrit avec des mots... Magnifique!
octobre 2011
Glisse ta main dans la mienne
Merci. Merveilleux livre...
octobre 2011
Glisse ta main dans la mienne
Quelques lignes, pour vous dire le plaisir que j'ai eu à lire vos nouvelles, d'une traite et à deux reprises déjà. Elles m'ont émue souvent, charmée, ravie, surprise parfois, fait rire et pleurer un peu, et je m'en suis sentie si proche.
septembre 2011
Glisse ta main dans la mienne
Je me régale à la lecture de votre recueil, et suis touchée par la fraîcheur de votre écriture.
septembre 2011
Glisse ta main dans la mienne
L'amour des petites choses. Clins d'oeil, anecdotes, aventures gamines au détour d'une rue, décisions prises à l'aube d'un grand changement: à chaque fois, quelques pages pour partager un instant de vie, pour se pencher sur des tressautements à première vue banals. Ceux-ci recèlent pourtant de petites épiphanies: une molaire qui tombe dans la purée de pomme de terre annonce les premiers tressaillements de l'âge. Un rapport de force lors d'un entretein d'embauche fait basculer les rôles jusqu'à les rendre risibles. Et la première vitre cassée par un enfant amène ce dernier à s'excuser maladroitement, révélant une innocente angoisse et une amusante couardise. Douces et drôles, ces nouvelles se profilent en bornes commémoratives qui ponctuent le parcours de chacun.
(Magazine Profil, septembre 2011, Elisabeth Jobin)
août 2011
Glisse ta main dans la mienne
J'ai beaucoup aimé votre livre. Particulièrement "Glisse ta main...", qui me bouleverse à chaque lecture. Bravo!
juillet 2011
Glisse ta main dans la mienne
On se laisse prendre à la magie des mots. Ils fusent, virevoltent, et percutent toujours autant.
juillet 2011
Glisse ta main dans la mienne
Bravo et merci pour ce deuxième recueil de nouvelles... plus intimes, plus riches en émotions, plus à fleur de peau... Cette manière d'écrire en petites phrases, très courtes, tout est mis en place, un style dépouillé, aucun adjectif inutile, pur, mais tellement visuel. Chaque nouvelle est un nouveau tableau, une aquarelle en demi-teinte. Surtout continuez à dénicher tant de poésie dans les choses de tous les jourset à nous l'offir pour nous aider à vivre!
juillet 2011
Glisse ta main dans la mienne
Chirurgical. C'est très bien fait. Beaucoup de concision. Presque de la dentelle. On aime quand le lecteur est renvoyé à son imaginaire et que la nouvelle éclate dans sa tête comme des morceaux de miroir, reflets infinis...
juin 2011
Glisse ta main dans la mienne
Un grand merci à l'auteure pour ces moments magiques passés avec ses histoires.
..et des mots reçus pour "Heureusement qu'il reste les goélands" le premier livre de Rouge écarlate, publié en novembre 2009 :
...vos textes peuvent déranger: au travers de l'humour, de légèreté, de gaîeté, de gravité, vous parlez de la vie tout simplement, avec beaucoup de profondeur, dans les silences notamment.
...votre livre, je l'ai adoré. Je l'ai dévoré au compte-goutte: sourcils froncés, bras un peu crispés sur le livre, histoire de n'en pas perdre une miette et puis la nouvelle finie, les bras retombent, on ferme les yeux et on savoure le nouveau paysage qui s'est ouvert dans notre imaginaire, juste le temps que la tentation de découvrir la suivante devienne irrésistible. Vous savez d'instinct laisser l'espace à votre lecteur pour s'approprier votre oeuvre à sa sauce, la pénétrer avec son monde à lui. Ne pas vouloir trop dire, c'est une clef essentielle que vous maniez remarqueblement. Vraiment. Chapeau!
Vos mots... c'est comme la petite ride au coin des yeux,celle du sourire, qu'on regarde tous les matins et qui fait revenir le souvenir des eclats et met des etoiles dans les yeux.
Félicitations pour ces petits bijoux pleins de vie et d'humanité, pour votre oeil qui sait si bien faire l'arrêt sur image de ces moments de vie apparemment anodins auxquels vous donnez tant de sens et de profondeur, dans un style qui n'appartient qu'à vous...
Vivienne Baillie contemple le quotidien avec passion. Inlassablement et tout naturellement, son regard se pose avec tendresse sur les petits détails de la vie pour ensuite les retranscrire sur le papier dans une poésie simple, aux contours nets et précis. [...] "Heureusement qu'il reste les goélands" est un recueil aux accents autobiographiques, mais à la réalité universelle. Une trentaine de petites nouvelles aux sonorités diverses se côtoient pour nous plonger dans un quotidien qui pourrait être le nôtre... [...] ...les petits récits de Vivienne Baillie sont à la fois tristes et drôles, emplis d'une pointe de nostalgie et de légèreté, mais surtout de vérité sans fards.
(Sylvie Logean, Journal de Morges)
Votre livre, je l'ai savouré avec beaucoup de bonheur.J'ai aimé ces touches impressionnistes. Ces petits tableaux de la vie quotidienne, petits riens en apparence, mais qui reflètent la profondeur de la vie.
...Vivienne Baillie écrit. Des nouvelles sur sa vie, sur la vie des autres, sur la vie en général, sur notre vie finalement. [...] Un texte de femme, pour les femmes et que l'on a envie que son homme lise.
(Anne-Muriel Brouet, Tribune de Genève)
Je trouve la couverture exquise et, surtout, j'ai à nouveau été saisi, ajusté, touché et coulé par la petite musique de votre coeur. [...] Heureusement qu'il reste quelques Vivienne Baillie vivantes ici bas!...
J'aime la franchise avec laquelle vous abordez certains sujets, une franchise saine. [...] La vie écrit tellement d'histoires, du matin au soir et même la nuit, pour chacune et chacun d'entre nous; vous réussissez à les saisir et les mettre sur papier. Vous nous incitez à ouvrir les yeux et nous observer nous-mêmes et le monde qui nous entoure et cela nous amène à être plus conscients de certains moments et à mieux en profiter. [...] Je vais sûrement le relire, votre livre, et je suis sûre que je vais encore découvir des choses.
J'ai beaucoup aimé vos mots et votre manière sans détours mais si subtile de nous les livrer. Après lecture, je me suis assise à même le sol et n'ai rien fait pendant un bon moment. Non. Je me suis contentée de savourer ton livre en essayant de graver les moments que j'ai préférés dans ma mémoire.
Merci beaucoup pour ce beau moment.
J'en profite pour vous dire tout le bonheur et l'émotion que j'ai à lire vos mots, ils m'accompagnent partout depuis que j'en ai commencé la lecture,
Je n'ai de loin pas fini, (et heureusement...).
"Mon métier est celui de "passeur de livres". Il est donc normal que je rencontre celles et ceux qui, hors des grands groupes font l'effort de se publier. J'ai tout de suite aimé la couverture de votre livre et l'extrait que vous aviez mis en ligne. Puis le livre en main, j'ai été conforté dans mon coup de coeur, et après lecture hier soir des 7 premières nouvelles, je n'ai pas été décu. Je ne me prétends pas critique; j'aime lire pour le plaisir sans analyser si un livre est bon ou pas; il suffit qu'il me touche, m'entraîne hors de mon quotidien, me passionne. Vos nouvelles sont délicieuses; elles se dégustent, vous avez un réel talent d'écriture (encore une fois: à mon humble avis!), loin des clichés et des prétentions que j'ai l'habitude de trouver dans ces nombreux premiers textes. Je me réjouis de lire les suivantes et aimerais retrouver plus tard votre sensibilité dans un roman, qui sait?"
(Pierre-François Clavel, Librairie Payot)
Ce qui me plaît le plus, c'est cette sorte de franchise étalée, sans vergogne ni artifices, une langue crue et que l'on croit. Il y a une musique singulière, un ton…En revanche, [...] il manque quelque chose au texte qui ferait de ces récits du quotidien quelque chose de comparable à du Carver ou du John Fante. Serait-ce la place du narrateur, un peu flottante? Je ne sais pas vraiment.
"Heureusement qu'il reste les goélands" 144 pages de pur plaisir. De découverte. De purisme et de sensibilité d'écriture. De style. De ponctuation. Concentré de petites histoires de vie. Drôles. Émouvantes. Surtout très parlantes, dans notre parcours de vie à tous. Á lire et à relire. J'ai beaucoup aimé! Bravo et merci Vivienne Baillie d'écrire autrement...